Enris Qinami Musician, Compositeur, Tour Guide, Perfumer, Traveller
Enris Qinami was born in Tirana and has lived in Paris since 2001. A guitar graduate and music teacher, he is also an ethnomusicologist, passionate about the traditions of mysticism and the arts of Islam. An enthusiastic researcher, he unearths old scores, to play tunes sometimes never performed before him in the West.
Enris sings Sufi-inspired poetry in Albanian, with Mediterranean and Central Asian influences, accompanied by an Albanian plucked lute, the “Sharki”. This music with Persian, Ottoman and Arabic tints, which has long fallen into disuse, tells both love and the sacred, and was once sung in the bazaars of the Balkans.
The Albanian Sufi artist, called “ashik”, is the vector of sacred words. The music he sings is called “aheng”, a word designating both music and pleasure through music. It is a link between the profane and the sacred, birds, flowers, the real and the imaginary.
The Sufi poetry that he sings takes its breath in a unique language that is Albanian with significant borrowings from neighboring languages. The musical language is rooted around the scales of the Near Eastern tradition, “makam”, which are stations of the soul expressing a wide spectrum of emotions and colors.
Recently Enris Qinami has developed a range of natural perfumes without alcohol and with noble materials.
Enris Qinami est né à Tirana et vit depuis 2001 à Paris. Diplômé de guitare et enseignant de musique, il est aussi ethnomusicologue, passionné par les traditions de la mystique et des arts de l’Islam. Chercheur enthousiaste, il déniche des partitions anciennes, pour jouer des airs parfois jamais interprétés avant lui en Occident.
Enris chante en albanais une poésie d’inspiration soufie, aux influences Méditerranéennes et d’Asie centrale accompagné d’un luth à cordes pincées albanais, le « Sharki ». Cette musique aux teintes persanes, ottomanes et arabes, tombée en désuétude depuis longtemps, conte tant l’amour que le sacré, et se chantait autrefois dans les bazaars des Balkans.
L’artiste soufi albanais, appelé « ashik », est le vecteur de mots sacrés. La musique qu’il chante est appelé « aheng », mot désignant à la fois la musique et le plaisir par la musique. Elle est un trait d’union entre le profane et le sacré, les oiseaux, les fleurs, le réel et l’imaginaire.
La poésie soufie qu’il chante, prend son souffle dans une langue singulière qu’est l’albanais avec d’importants emprunts aux langues voisines. Le langage musical s’enracine autour des gammes de la tradition proche-orientale, « makam », qui sont des stations d’âme exprimant un large spectre d’émotions et de couleurs.
Depuis peu Enris Qinami à développé une gamme de parfums naturels sans alcool et avec des matières nobles.